Le romanesque des jours qui passent, qu'il soit drôle comme un livre de P. G. Wodehouse ou plombant comme un Zola, offre cette possibilité-là : avancer masqué.
On peut ainsi, dans une certaine mesure, se choisir un personnage (ce qui est vain bien-sûr, le naturel se charge parfois de nous ridiculiser quand le rôle est trop éloigné de soi).
On peut donc avancer masqué. Par jeu, pour se protéger, pour se défendre, pour manipuler,...
Raoul n'échappe pas à la règle mais promis, reste bienveillant.
Donc cette fois, le masque est celui d'un oiseau de mer.
Car les goélands, mouettes et dans le jardin les pies, sont mes oiseaux préférés. Certes vu de l'extérieur pas les plus sympathiques. Mais un côté guerrier qui me plaît bien.
80x80. Information non dissimulée. |
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