lundi 29 janvier 2018

Raoul avance masqué

C'est plus facile

Le romanesque des jours qui passent, qu'il soit drôle comme un livre de P. G. Wodehouse ou plombant comme un Zola, offre cette possibilité-là : avancer masqué.
On peut ainsi, dans une certaine mesure, se choisir un personnage (ce qui est vain bien-sûr, le naturel se charge parfois de nous ridiculiser quand le rôle est trop éloigné de soi).

On peut donc avancer masqué. Par jeu, pour se protéger, pour se défendre, pour manipuler,...
Raoul n'échappe pas à la règle mais promis, reste bienveillant.

Donc cette fois, le masque est celui d'un oiseau de mer.
Car les goélands, mouettes et dans le jardin les pies, sont mes oiseaux préférés. Certes vu de l'extérieur pas les plus sympathiques. Mais un côté guerrier qui me plaît bien.

80x80. Information non dissimulée.

mardi 23 janvier 2018

Raoul n'est pas seul

Et toujours bien accompagné

The gang. 92x65

La nonchalance. 50x70
Dans le désordre, ce n'est donc pas seul que Raoul :

boit du vin blanc (souvent du Quincy), fait des longueurs (en maillot une pièce), mange des Pringles (les basiques, nature), marche (10 000 pas journaliers sont préconisés par l'OMS), re-boit du Quincy (et parfois du rouge), joue du ukulélé (au feeling), s'informe (sur tout et n'importe quoi), ...

En revanche, devant la toile, Raoul est seul. Enfin presque. Radio ou lecteur cd. Obligatoire.

Vous savez tout.

lundi 8 janvier 2018

Premier bain de l'année

Vraiment trop froid
92x65 de froideur


J'ai préféré garder le pull, chauffer la tisane en écoutant la fantastique musique de West Side Story pour peindre.
Mais je peux supposer que si j'avais dû me baigner comme quelques courageux ou inconscients à Saint-Malo ou ailleurs, j'aurais fait cette tête-là, les bras collés au corps pour garder un peu de chaleur.
Et bien-sûr cela n'aurait pas fonctionné.