Pendant ce temps dans la forêt...
La saison est au chasseur qui chasse. Les cibles, mouvantes, prennent parfois des formes inattendues, mais un fusil n'est pas là pour nuancer : à l'instar du mâle au scrotum débordant, il est là pour tirer un coup, voire plusieurs et pis c'est tout.
Cette douce évocation me ramène à l'enfance dans ce qu'elle a de plus niais et donc de plus rassurant. Et je repense à cette comptine "Cerf, cerf, ouvre-moi où le chasseur me tuera !"
Dans l'histoire, c'est le lapin qui, comme de bien entendu, tape la discute avec le cervidé.
Bon ben là, comme qui dirait, c'est mort. Pour le cerf.
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De l'ombre... |
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... à la lumière |